A travers ces corps nus empêtrés dans les polymères, se déploie une gamme de formes à plusieurs dimensions
offrant une vibration, vivace et mortifère, tout à la fois.
Ce n’est pas le plastique qui nous enferme, c’est nous qui nous enfermons dans cette membrane devenue presque inconsciente. Symbole de notre déshumanisation, le plastique traité dans ces photos est là. Cependant, on ne le voit pas forcément.
Il rend, alors, l’humain virtuel, fantomatique.
C’est beau et effrayant.
Isolant, le plastique nous colle à la peau, nous sépare, nous dissout. Le plastique, dissimule, excite, étouffe.
Le désir et la défiance de l’autre jouent ensemble.
Comment s’isoler tout en étant avec les autres ? Comment être avec les autres tout en s’isolant
offrant une vibration, vivace et mortifère, tout à la fois.
Ce n’est pas le plastique qui nous enferme, c’est nous qui nous enfermons dans cette membrane devenue presque inconsciente. Symbole de notre déshumanisation, le plastique traité dans ces photos est là. Cependant, on ne le voit pas forcément.
Il rend, alors, l’humain virtuel, fantomatique.
C’est beau et effrayant.
Isolant, le plastique nous colle à la peau, nous sépare, nous dissout. Le plastique, dissimule, excite, étouffe.
Le désir et la défiance de l’autre jouent ensemble.
Comment s’isoler tout en étant avec les autres ? Comment être avec les autres tout en s’isolant